L’histoire de Jeorges

Pourquoi Jeorges ?

Des produits locaux de qualité

Jeorges, c’est la volonté de donner du sens à chaque action… Nous sommes tous acteurs de notre planète, et gagner 8500 kilomètres dans l’approvisionnement des ingrédients est une grande satisfaction !

Jeorges, c’est aussi la volonté de trouver ici, ce que l’on a pris pour habitude d’aller chercher au bout du monde… A travers des produits locaux de qualité, Jeorges a élaboré avec passion et dans le respect de l’artisanat à la française, des recettes simples, savoureuses.

Jeorges, c’est également la volonté de bousculer un tant soit peu les codes des différents moments de la journée en proposant une boisson douce, sans caféine et riche en fibres.

Jeorges, c’est encore la volonté de rassembler les générations autour de boissons saines, savant mélange de nostalgie et d’avant-gardisme.

Jeorges, C’est surtout la volonté de tendre vers une chaine de valeurs la plus éco-responsable possible : tous les ingrédients sont issus des Hauts de France et n’ont fait que très peu de kilomètres pour arriver chez vous. Même son paquet est régional et surtout… Il est 100% recyclable !

Jeorges, c’est enfin la volonté de partager les expériences, de créer des relations humaines et solidaires, notamment en évoluant de concert avec des personnes en situation de handicap. Ce partenariat est une chance et fait grandir tous les protagonistes !

Tout n’est pas parfait bien sûr, mais Jeorges s’emploie chaque jour à ce que demain soit meilleur !

 

L’orge

Pour être précis, il s’agit de malt d’orge… Le malt d’orge est de l’orge que l’on laisse germer afin que ce processus fabrique des enzymes et autres sucres naturels puis que l’on torréfie afin de stopper rapidement la réaction, mais aussi obtenir cette touche grillée.

Cultivée, tant sur le croissant fertile que sur les bords du Nil, l’orge fut l’une des premières céréales domestiquées plus de 8000 ans avant JC.
Ça n’est qu’en 4000 avant JC qu’elle arrive en Finlande.
Dans l’Antiquité (3000 ans avant JC), le bassin méditerranéen l’utilise sous forme de galettes et bouillies. Les Grecs, les Romains et les Celtes la préfère en bière.
Pendant le Moyen-Age, la population mange du pain d’orge et de seigle car il n’y a que très peu de blé.
Au 19ème siècle, elle est cultivée dans toute l’Europe.
L’orge reviendra une nouvelle fois et malheureusement, au goût du jour, lors des 2 guerres mondiales lorsque le café fut rare.

Naturellement sans caféine, on lui prête aisément des vertus antioxydantes. L’orge est également riche en fibres et naturellement faible en gras, elle favorise la digestion et le phénomène de satiété. Enfin, elle affiche un indice glycémique assez faible (25).

La chicorée

La forme sous laquelle on la consomme aujourd’hui est issu de sa racine qui est concassée, séchée puis torréfiée.
Lorsqu’elle est encore en terre, la chicorée sauvage se caractérise par de jolies fleurs bleues pâles.

Utilisée depuis l’Antiquité, c’est au Moyen-Age qu’elle est cultivée en Europe pour ses vertus médicinales, et notamment digestives.
Son essor est malheureusement lié aux guerres et blocus du 20ème siècle.
Ca n’est donc qu’à partir de là que l’on commence à la torréfier pour ainsi remplacer le café qui est en quasicomplète pénurie à cette époque.
La mondialisation a peu à peu réduit son utilisation au profit du café, très répandu aujourd’hui dans le monde entier.

On prête pourtant de nombreuses vertus à la Chicorée, telles qu’antioxydant, riche en fibres, sans caféine, stimulant la flore intestinale ou encore assurant plus facilement la digestion…

Le café d’orge

En Italie, celui-ci existe depuis très longtemps : bien plus doux qu’un « ristretto », il est apprécié le matin mais aussi à toutes heures de la journée sans risquer un endormissement difficile en fin de soirée. Il est également aisément proposé chaud ou froid aux enfants puisque sans caféine.
L’adjonction de chicorée à cette recette ancestrale apporte beaucoup plus de rondeur, de saveur et intensifie les odeurs du breuvage.